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Un été au Népal, entre vadrouille et volontariat
16 juillet 2017

13/07 Bakthapur premier jour

Réveillée vers 7h30 par la mère de la maison qui revenait de 2h de yoga dans un temple à côté. Et la, dans ce lit, réalisant que nous étions trois dans un lit pour deux, que le lit était aussi confort qu'une table en bois, que j'avais la tête dans les rideaux qui sentaient fort la poussière, la chambre innondee de lumière du soleil déjà levé, eg du brouhaha incessant de la ville, je le prend compte à quel point j'ai bien dormi, et à quel point mes critères de nécessité en terme de confort ont été revus à la baisse!!

Nous sommes restées pour le petit déjeuner : sandwich aux crudités et à l'omelette, et morceaux de pomme à côté avec un thé. Ahh des légumes crus et des fruits, mais que c'est bon! Et ca faisait bien longtemps. Ils mangent beaucoup de légumes au Népal mais jamais crus. Sur cette bonne note, sac a dos enfilé, j'ai pris la route. Une bonne heure de bus pour Bakthapur. 

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En arrivant j'ai pris une chambre pour déposer les affaires. Chambre sans salle de bain, c'est moins cher. Et je le suis promenée plusieurs heures dans les ruelles piétonnes de la ville, captivée à chaque coin de rue par un nouveau temple qui s'offrait à moi. Magnifique ville de Bakthapur. Je me suis ensuite calée dans un petit café, vue sur le temple principal, sur les bâtisses rouge de la ville et sur les collines verdoyantes. Endroit de toute beauté.

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Retour à l'hôtel. Petite douche. Ensuige j'ai demandé au gérant de l'hôtel s'il connaissait un endroit pour faire du yoga le lendemain matin. Il me demande de le suivre, il va me montrer. Donc je le suis, on sort de l'hôtel, et il monte sur sa moto... ok! Donc je monte derrière lui. Et nous voilà partis dans les ruelles de Bakthapur. Les gens roulent comme des fous ici, sans casque évidemment. J'ai serré les fesses tout le long, à chaque que l'on frôlait un piéton, je me crispais... j'aurai définitivement besoin de ce yoga demain matin vu les tensions que j'aurai accumulé sur la moto! Il s'arrête, on croise le prof de yoga sans la rue qui me dit que je suis la bienvenue le lendemain matin à 5h30. 5h30???? Ah oui quand même!! Peut être qu'on verra alors... Il m'a ramené ensuite en moto à l'hôtel.

J'ai ensuite passé la soirée à l'hôtel avec d'autres voyageurs et la famille qui tient l'hôtel. Les cuisines du resto étaient fermées donc ils nous ont proposé de manger avec eux. Le père de la famille à fait du riz, du tarkari, et leur fameuse souoe de lentille appelée "baat", pour toute la famille et pour les résidents de l'hôtel qui voulaient manger la. Nous étions donc une dizaine à partager ce repas : la famille népalaise, un américain, un allemand, deux françaises et moi. Je me suis paisiblement endormie après cette charmante soirée.

 

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Commentaires
V
Quel doux récit ... tu pourras l éditer et en faire un livre ..l'histoire de margaux .<br /> <br /> Car tu nous fais vivre ton aventure et crois moi de la ou je suis tu m emportes avec toi
Un été au Népal, entre vadrouille et volontariat
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